Fleurettes de crassulettes.

Quelle finesse

C'est grandiose pas d'autres mots, ça ne peut être que le fruit de connaissances approfondies et d'une excellente gestion à tous niveaux, un grand bravo Tom

Tes photos fourmillent de petits détails et d'une belle netteté.

Dans le petit matin, une autre forme de pellucida ssp. marginalis.

Les ultimes fleurs de Crassula streyi sont différentes : pétales recourbés et plus verts, que l'on soit tétra- ou pentamère.

Crassula orbicularis et son délicieux parfum de cacao vanillé.

Après l'érection des thyrses de Crassula hemisphaerica, une odeur de moisissure de peau d'orange émane des premières fleurs.

qu'elle est jolie cette dernière, très gracieuse

JOCELYNE

Voici une fleur de ladite Crassula hemisphaerica.





D'autres fleurettes de Crassula 'Minerva'.

Corolles fermées de la section Sphaeritis gardées par une jeune Iris oratoria.







Toutes premières éclosions chez Crassula exilis ssp. cooperi.

Pour moi la dernière j'aurais plutôt dit exilis ssp. picturata non ? En tout cas belles plantes

Salut Escoban,

C'est le nom qui lui est souvent attribué, mais ça ne correspond pas exactement à la description originale.
La photo de la description originale de cette Crassula 'Picturata' montre des feuilles plus pointues, et l'inflorescence est décrite comme un corymbe de 5 cm de diamètre.






Voyez comme les fleurs écloses de la crassule de la section Sphaeritis (abusivement répandue sous le nom Crassula atropurpurea) restent resserrées ; elles n'en dégagent pas moins un doux parfum anisé.

Dès potron-jaquet : Crassula cultrata et son léger parfum anisé.







Section Globulea, bien sûr !

Fleurs de Crassula cultrata (sentant à présent le pain d'épices) bien gardées par cette punaise Heterotoma planicornis, dévoreuse de thrips et autres parasites.








Avec la chaleur, l'odeur de moisissure de peau d'orange de C. hemisphaerica vire à celle de l'éther ou du feutre indélébile.